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En pleine Goutte d’Or, cette cantine pop s’inspire des cuisines de la diaspora africaine : un peu de Mali, un peu de Caraïbes, un peu de Louisiane et beaucoup d’influences street food. Le Kossa Fried Chicken est une crousti-bombe bien différentes des versions coréennes ou japonaises avec sa panure relevée et une chair marinée dans des épices jamaïcaines pour un supplément de punch. A boulotter avec des allocos qui collent aux doigts.
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C’est la Goutte d’Or qui fait déborder le buzz. Dans la même veine que la Maison Château Rouge voisine, Mama Kossa s’applique à montrer la richesse et la modernité de la diaspora afro-descendante du monde en général et du 18e en particulier. Dans cette cantine pop (wax, briques nues, suspension osier) au blaze inspiré du banger de Manu Dibango, Flora Dibotti et Didier Piquionne, tous deux venus de l’événementiel et de la musique, ont voulu mixer les cuisines afro : un peu de Sénégal, un peu de Caraïbes, un peu de Louisiane et plein d’influences street food pour des propositions certes beaucoup autour du poulet, mais qui osent s’émanciper de la tradition.
Depuis la cuisine ouverte, le débonnaire chef Raphaël Faget nous cueille avec un KFC (Kossa Fried Chicken) à la panure bien relevée et à la chair marinée dans des épices jamaïcaines pour un supplément de punch. Une crousti-bombe bien différente des versions coréennes ou japonaises. On accompagne ces pépites d’un bol d’allocos qui collent au doigt (et c’est ça qu’est bon). A la carte, on croise aussi du risotto d’igname, du guacamole au safou (une sorte de prune camerounaise au goût d’artichaut acide) ou des bowls végé au riz à la badiane, pickles haïtiens et plantain.
A boire, un jus de bissap ou une bière de la brasserie de la Goutte d’or, mieux qu’un cocktail Sweet Fanta Diallo (rhum, bissap, orange et citron vert) mal dosé. Le restaurant partage une arrière-salle avec un incubateur de start-up (Barbes 3.0 bébé) et organise donc des soirées DJ et concert les vendredis et samedis.
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Bienvenue chez Mama Kossa, ton restaurant/lieu de vie parisien spécialisé dans la cuisine Afro-descendante, “saupoudré d’influences pop culture”, situé 8 rue Myrha – 75018 Paris !
Derrière son slogan “Food, Culture & Love” se cachent des inspirations emblématiques, une carte innovante et un cadre convivial, à l’image des richesses culinaire et culturelle de la diaspora Afro. Une équipe solide se cache également derrière ce nouveau concept dont l’entrepreneur et Co-Fondateur Didier Piquionne qui m’a accordé cette interview devant un bon Mama’s Bowl, un bissap et un Kossawrap !
Suite de l'interview avec le co-confadateur Didier PIQUIONNE sur le site Stock Xx
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C’est dans l’emblématique Rue Myrha, dans le quartier de la Goutte d’Or à quelques mètres de la boutique de Maison Chateau Rouge, que le restaurant Mama Kossa, nommé en clin d’oeil au saxophoniste et compositeur camerounais Manu Dibango, vient d’ouvrir ses portes. Au programme de ce nouveau spot dédié à la cuisine africaine mais pas que, des plats revisités au goût du jour qui s’imprègnent de la culture afro-descendante. Les Caraïbes sont aussi mises à l’honneur sur la carte du restaurant qui fusionne les grands hits de la cuisine afro-descendante en s’imprégnant d’aliments typiques de la Jamaïque, du Congo ou encore d’Haïti.
Au menu, un Mama’s Bowl composé de riz djalon, pikliz, plantain vapeur, vinaigrette banane & agrumes, et d’un condiment piment à associé à du poulet ou du poisson. Le Kossa Dwich mise lui sur un Flatbread manioc, du chou chinois accompagné de pikliz, mayo colombo-mangue, coriandre, et oignon rouge. On vous conseille également les Planticini, une fusion de banane plantain et d’arancini, met typiquement italien revisité ici à la sauce afro-descendante. Mama Kossa adresse aussi un clin d’oeil au spécialiste du poulet KFC avec son propre Kossa Fried Chicken, un haut de cuisse pané trempé dans une jerk marinade.
MAMA KOSSA
8 rue Myrha
75018 Paris